Le Port de San Jorge. Nous venons de sortir du bus après huit heures de contemplation et de faux-sommeil, l’espoir en main de pouvoir sauter sur le dernier ferry qui permet de rejoindre l’Ile d’Ometepe. Raté. Il fait déjà bien nuit, la prochaine traversée ne s’effectuera que le lendemain matin. Le réveil sonne et le