Quand Lamya Essemlali rejoint l’association Sea Sheapherd en 2005, son fondateur Paul Watson lui demande si elle est prête à risquer sa vie pour une baleine. Cette question prend tout son sens quelques mois plus tard, lorsqu’elle embarque pour sa première mission en Antarctique, sur les traces des bateaux-usines japonais. L’objectif : anéantir le rendement de la chasse baleinière pour forcer les braconniers à renoncer.
Crédits photo : Eliza Muirhead / Sea Shepherd