3 novembre 1996. Aux Sables d’Olonne, le départ du Vendée Globe est donné. C’est l’aventure ultime : un tour du monde à la voile en solitaire, sans assistance et sans escale. La navigatrice Isabelle Autissier est parmi les favoris. Mais cette édition tourne au cauchemar quand aux premiers naufrages et abandons s’ajoute une tempête aux vagues immenses et aux vents de 170 km/h. Dans ces conditions dantesques, le skipper Gerry Rouf ne répond plus. Isabelle Autissier en compétitrice la plus proche, se déroute alors pour partir à sa recherche…
3 novembre 1996. Sur le port des Sables d’Olonne, la tension est palpable. Le départ du Vendée Globe vient d’être donné. C’est l’aventure ultime : un tour du monde à la voile en solitaire, sans assistance et sans escale.
La navigatrice Isabelle Autissier — première femme à avoir bouclé un tour du monde en solitaire en compétition — est donnée parmi les favoris de cette épreuve hors-norme. Aux côtés de 14 participants, elle part affronter les mers les plus agitées du globe, les vents contraires du Golf de Gascogne, les tempêtes de l’Atlantique Sud ou encore le passage du mythique Cap Horn.
Mais cette troisième édition du Vendée Globe tourne au cauchemar. Après les naufrages et les abandons dans la première partie de la course, une tempête se déclenche dans le Pacifique Sud. Les marins ne le savent pas encore, mais ils vont se retrouver au coeur de vagues immenses, avec des vents qui soufflent à près de 170 kilomètres heures.
La tempête fait rage quand l’organisation perd le contact avec le navigateur Gerry Rouf. Son dernier message n’est pas rassurant : « Les vagues ne sont plus des vagues, elles sont hautes comme les Alpes ».
Isabelle Autissier, la compétitrice la plus proche, se déroute pour partir à la recherche du bateau du skipper Canadien, dans des conditions dantesques… Une histoire désormais tristement célèbre qui va ancrer l’édition 1996-1997 du Vendée Globe dans les mémoires…
Figure de proue de la navigation, Isabelle Autissier est la première femme à avoir accompli un tour du monde en solitaire en compétition. Après avoir dédié une partie de sa vie à la course, elle s’est tourné vers l’écriture et l’écologie en devenant autrice et présidente d’honneur de WWF.
Un épisode réalisé par Thomas Firh, assisté par Nicolas Alberty. Le récit a été présenté par Clémence Hacquart. La musique est composée par Nicolas de Ferran et Michael Boga s’est occupé de la musique additionnelle. Chloé Wibaux, s’est assurée du montage et Antoine Martin du mixage.
La saison 6 des Baladeurs est soutenue par Columbia.