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— Paris, France
J’aime pêcher à la mouche, surfer en hiver et randonner pendant une durée indéterminée tant qu’il y a un lac à truites ou une machine à raclette à la fin du parcours. Je m’enfile pas mal de littérature américaine/nature writing et je collectionne les casquettes de redneck.
La pêche à la mouche a ceci d’incroyable d’être non seulement la plus belle pêche qui soit mais aussi ce mouvement poétique et artistique se mêlant prodigieusement aux grands espaces depuis que l’Homme marche sur l’eau. Qu’il soit au contact des vagues depuis sa planche de surf, en apnée au cœur des profondeurs ou les
Je viens d’achever Dans la forêt de Jean Hegland et je peux vous assurer que la fin est poignante. Le genre de fin qui donne envie de lire le début, le milieu et la page 84. À vrai dire, on pourrait lire ce roman comme un livre dont vous êtes le héros. Chaque paragraphe suscite son
Il y a ces maisons d’éditions que l’on scrute tel un chercheur d’or se délectant de chaque pépite trouvée sur son chemin. Edward Abbey, Thomas McGuane, David Vann, John Gierach, Pete Fromm… Chez Gallmeister, les auteurs ont la plume aiguisée aux grands espaces et à un style d’écriture : le Nature Writing. On a posé
Salut RC Cone, tu passes de films sur la pêche à la mouche au surf, quels rapprochements fais-tu des deux disciplines ? Pour moi, elles sont intimement liées. Bien sûr, les gestes qu’on retrouve dans ces pratiques n’ont rien à voir entre eux, mais il y a cette même approche de l’eau. Les plus belles choses
Il y a ces curieuses questions, qu’on aime se poser entre amis pour savoir qui ferait quoi s’il se retrouvait échoué au beau milieu d’une île déserte. Tout en s’imaginant un tas de scénarios, on se remémore conjointement Robinson Crusoé, Vendredi ou la vie sauvage ou Seul au monde avant d’enchaîner par une réponse rocambolesque.