Depuis plus de 20 ans maintenant, Marc Alaux explore la Mongolie. Après en avoir fait le tour, c’est par un voyage immobile qu’il a voulu approfondir son amour du pays. En 2015, l’auteur décide de se retirer 3 mois dans une famille d’éleveurs nomades. Pris dans la routine mongole, entre la yourte, la bergerie et les pâturages enneigés, l’étranger va pour la première fois, faire la véritable expérience du temps. Un temps élastique qui s’étire de jour en jour…
Depuis plus de 20 ans maintenant, Marc Alaux explore la Mongolie. Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, il a traversé sans relâche à pied les immenses paysages du pays au Ciel bleu, de ses confins montagneux à sa nébuleuse capitale. Au fil de ses voyages, il a découvert ses habitants et leur culture millénaire, pour finir par apprendre leur langue et devenir spécialiste des grandes steppes, auxquelles il a consacré plusieurs livres.
Mais rien ne semble pouvoir rassasier sa passion mongole. Et après en avoir fait le tour, c’est par un voyage immobile qu’il a voulu approfondir son amour du pays. En 2015, l’auteur décide de se retirer 3 mois dans une famille d’éleveurs nomades.
Au cœur d’un hiver glacial, il va partager l’intimité de la yourte de celui que l’on surnomme Gotov le moustachu et de sa femme Oyunchimeg, pour s’initier au métier de berger. Une idée romantique sur le papier qui se confronte à la dure réalité de la vie : des vents forts, des températures touchant les -45 degrés et un travail manuel éreintant, à recommencer chaque jour.
Pris dans la routine mongole, entre la yourte, la bergerie et les patûrages enneigés, l’étranger va vivre de silence et d’espace. Et pour la première fois, faire la véritable expérience du temps. Un temps élastique qui s’étire de jour en jour…
Depuis plus de 20 ans, Marc Alaux consacre une grande partie de son temps à l’étude des steppes d’Asie centrale et de Haute-Asie. En véritable expert de la Mongolie, l’auteur raconte sa passion et ses voyages dans divers ouvrages, dont le dernier “Ivre de steppes”, récit d’un hivernage pastoral dans les steppes mongole.
Un épisode réalisé par Thomas Firh, assisté par Nicolas Alberty. Le récit a été présenté par Clémence Hacquart et mis en musique par Nicolas de Ferran. Chloé Wibaux, s’est assurée du montage et Antoine Martin du mixage.
La saison 6 des Baladeurs est soutenue par Columbia.