On est comme vous : quand on pense « ultra-trail », on se dit « fatiguant rien que d’y penser ». Et pourtant, Damien et Nico (les deux types sur la photo), co-fondateurs de Les Others, se sont dit qu’ils allaient tenter le coup. Mais à leur manière : 100 kilomètres en pleine nature, sans dossard, sans public, sans organisation et sans musique à fond sur la ligne d’arrivée. Une expérience qui revient aux racines de la course à pied en pleine nature, basée sur les sensations, la connexion avec la nature, l’humilité face à l’environnement. Un défi à leur image (et à la nôtre), nommé #ProjetUltra.
Ils ont deux mois pour y arriver – et c’est pas gagné. Le grand saut est prévu pour mi-septembre au coeur de la Haute Maurienne Vanoise, avec une arrivée à Bonneval-sur-Arc, ultime village avant le col de l’Iseran. avec un dénivelé positif de plus de 5000 mètres, ces 100 kilomètres promettent un challenge aussi magnifique qu’éreintant…
On vous propose de les suivre à chaque moment de leur prépa jusqu’au jour J en nous suivant sur Instagram – on vous donnera des infos également sur cet article !
Le #ProjetUltra est rendu possible grâce au soutien de nos partenaires :
Haute-Maurienne Vanoise, The North Face et Oakley.
Un été passé à surfer autour du monde, une traversée de l’Alaska en chiens de traîneau, une ascension terrifiante ou un roadtrip en Harley… Dans notre newsletter hebdomadaire, on vous présente régulièrement nos documentaires d’aventure préférés. Pour ceux qui ne sont pas abonnés, voici la liste des dix premiers documentaires envoyés. De quoi égayer un dimanche pluvieux ou passer un bonne soirée ! Pour recevoir les prochains, inscrivez-vous à notre newsletter.
Vendredi 14 avril 2023. En fin de soirée, le téléphone de la Compagnie de Sécurité des Alpes résonne dans les locaux. Au bout du fil : un homme alerte sur la disparition de sa compagne, Aurélie Dutertre. Partie trois jours plus tôt pour une randonnée à ski en autonomie dans le massif de Belledone, elle n’est jamais revenue au point de rendez-vous qu’ils s’étaient fixés.
Depuis 48 heures, le ciel se déchaîne en altitude et des avalanches se déclenchent. Du côté des secours, les chutes de neiges rendent toute opération de sauvetage difficile à mettre en place. À quelques kilomètres de là, Aurélie Dutertre attend au coeur de la tempête. Elle a pu se réfugier dans une cabane de 5m2, sans fenêtre, avec un toit de tôle et une lourde porte en bois : l’espace est sommaire mais lui permet d’attendre l’éclaircie. Sauf qu’avant qu’elle ne s’en rende compte, le piège se referme sur elle.